Moi, Démétri, avait décidés de ne pas perdre ma journée, a ne rien faire. Au lever du soleil, je décidai d'allai faire une petite partit de chasse, espérant trouver des ours. Donc, de ce pas, j'allai dans la forêt de Forks trouver mon gibier. Il me fallu quelque minutes avant de trouver ce que je cherchai.
Aprés m'être abreuvé du sang de l'animal, je décidai d'aller à la villa des Cullens, éspérant trouver l'élu de mon coeur.
Ces yeux de couleur ambre me faisait perdre mes moyens. La blancheur de sa peau faisait magnifiquement ressortir l'éclatante couleur de ses lèvres pulpeuse couleur cerise. Comment ne pas avoir envie de la croquer a pleine dent ? Elle qui était si tentante. Pour parfaire le tableau déjà parfaitement parfait, sa chevelure d'un blond rappelant les éclats de soleil, ne faisait que m'éblouir d'avantage. Sa silhouette déliée, souple et tout en finesse, dépassé de loin celle des mannequins. En la voyant marcher, on avait l'impression qu'elle dansait tellement sa grace était indescriptible. Son odeur de rose fraiche m'ennivrait à m'en faire perdre la tête. Pour résumé l'évidence j'étais irrévoquablement et définitevement amoureux de cette vénus sortit tout droit du paradis.
Avec à l'esprit cette parfaite et magnifique image, je sonnai à la porte de la villa des Cullens. Je ne m'étais aps rendu compte du temps ou du trajet que j'avais fait. Ma douce m'avait occupé l'esprit durant tout ce temps. Mais je ne pouvais me défaire d'une certaine apréhension à l'idée de rencontrer le reste de sa famille, et surtout si je venais a tomber sur Emmett, son colosse.
La porte s'ouvrit finalement sur Emmett et Ésmé. J'offris mon plus beau sourire, surtout a Emmett. Je ne voulais pas me faire supprimer si prés du but. Trés poliment, je demandais a parler a Rosalie. L'expression d'Esmé me glaça jusqu'au sang, si pour un vampire cela pouvait se dire. Elle affichait une mine épouvantée tandis qu'Emmett sembla bouillir sur place de colère tout d'un coup.
Emmett m'attrapa par le col de ma chemise et m'entraina dans le salon sans que je puisse réagir, Ésmé s'écarta en toute hâte de notre chemin. C'est alors, que je me rendis compte que trois des membres de la famille Cullens manquait à l'appel. A savoir Nessie et sa mère ainsi qu'à ma plus grande angoisse ma douce Rosalie.
Dans le salon l'ambiance trés lourde et trés tendu n'avait rien pour me rassurer, bien au contraire. La tension y était palpable presque électrique. J'aurais trés bien pu la dessiner tant elle se voyait. Emmett et Jacob me saisir chacun par un bras et me firent m'asseoir sur un siège au beau milieu du salon. Sous la cible de tout ces regard percant, je n'en menais pas large. Avec une expression de colère contenu, Emmett me cria dessus, en m'apprenant que Rosalie avait été enlevée par les Volturis. A mes yeux, le lever ou le coucher de soleil n'avait plus rien de signifiant, j'avais l'impression que le monde s'éffondrer autour de moi comme si toute la joie, tout le bonheur, et toute la lumière de l'univers avaient fait ces bagages pour Volterra. Je compris à leur expression livides qu'il me tenait pour responsable de l'enlèvement. J'eus un mouvement de recul, et je fus aussitôt ramené à ma place par le bouillant et terrifiant ours nommé Emmett.
Il confirma mes craintes en me hurlant dessus que j'étais à l'origine du kidnapping a ses yeux. Je voyais que le reste de la famille n'esquissait pas un geste ou une parole pour le contredire, sauf peut-être a l'exception d'Eleanor qui affichait un grand sourire, sous le feu de mon regard perçant son sourire fonda, comme neige au soleil. Comment osait-elle sourire alors que ma raison de vivre était partit dans un lieu si lugubre ? Elle devait certainement se dire qu'elle avait désormais le champ libre pour séduire Emmett (ce qui ne m'aurait pas déplu si ma belle n'étais pas la victime dans cette affaire)
J'essayai tant bien que mal de convaincre les Cullens que je n'avais rien a voir dans tout sa, et que je ferai tout ce qui était en mon pouvoir pour ramener les disparues. Je comptai particulièrement sur le soutien d'Edward qui pouvait lire dans mes pensées, toute la déchirure que je ressentais.